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Surfer dans le vent

     
Le vol à voile
@ Surfer dans le vent.
@ Planeurs bois et toiles.
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Montgolfières
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Certains surfent sur le NET, d’autres sur la neige ou encore sur les vagues, mais là je vais vous parler d’un autre sport de glisse :

LE VOL A VOILE.

 

             Mon truc à moi c’est de planer. De jouer avec les courants ascendants, chauds, froids, de surfer sur les nuages. Là-haut, généralement à 2 000 mètres d’altitude, alors que seul le sifflement du vent sur la carlingue vient troubler le silence, je prends mon pied. Ça ne vous est jamais arrivé à vous sur la neige ou les vagues, et bien les sensations sont tout aussi fortes ! Mon truc à moi c’est le vol à voile, le planeur ! Et j’y passe toutes mes vacances.

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COMME EN FORMULE 1

 

            En trois minutes les pilotes vous embobinent et par les mots vous installent aux commandes de la machine. En altitude, une totale sensation de liberté vous envahit. Imaginez-vous installé confortablement, sans bruit et au chaud, dans une bulle où vous avez une vision parfaite. L’impression d’être là, posé sur l’air et de voir défiler le paysage. C’est simple vous planez comme un oiseau. C’est encore mieux que le cinéma 3D, avec plus de sensations.

            C’est un plaisir incomparable et sans danger. C’est bête à dire mais, le planeur plane. Il n’y a pas de moteur comme sur les avions, donc aucun risque de tomber en rade, et puis pas de problème, le parachute est là. Les accidents sont très rares et souvent dû à l’inattention du pilote. Voilà pour les sceptiques, le vol à voile reste un plaisir total.

            Ne pensez pas pour autant qu’il soit facile de piloter un planeur. Aux commandes de l’engin le pilote ne baigne pas dans une douce béatitude. Le vol à voile est un sport, et comme tout sport, il est physique. La France compte deux champions du monde.

           Si je vous dis que ça ressemble à la formule 1 : En 15 secondes vous passez de 80 km/h à plus de 200 km/h. Le corps trinque et vous vous prenez des G dans la figure, les babines pendantes, l’estomac dans les talons. Le corps travail mais l’esprit aussi. Dans le cockpit le calcul mental est de rigueur et la concentration doit être extrême. En moyenne le pilote prend une décision toutes les 10 secondes. Inutile de dire que cela vous responsabilise très vite. C’est un atout dans la vie quotidienne.

            C’est à partir de 14 ans que vous pouvez commencer le vol à voile. Mais vous ne pourrez pas être breveté avant l’âge de 16 ans. Entre temps vous pourrez quand même être « lâché », c’est à dire que vous aurez passé une épreuve théorique et au moins 20 heures en double commandes avec un instructeur. Mais il vous faudra l’épreuve pratique pour obtenir votre brevet national de pilote planeur. Ce brevet coûte 3 fois moins chère que le brevet pilote avion. Un pilote planeur consacre en moyenne 6 000 à 8 000 F pour environs 150 à 200 heures de vol par ans.

            Rien ne vous empêche de faire un saut au club de L'AMG sur l'aérodrome de Lépaud à Montluçon Guéret, ou encore à  l’ALSA, rue de gâte soleil, sur le site de l’aéroport de Limoges Bellegarde. Un baptême vous coûtera environs 200 F pour trente minutes de plaisir. Promis, si vous me contactez je vous emmènerais.

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Planeur Astir Jean et le Remorqueur de Limoges

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  Limoges

 

 

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Barcelonette en Marianne

 

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Aéroclub de Montluçon Guéret

Dernière modification : 01 décembre 2004